La santé des enfants est un enjeu majeur à l’échelle mondiale. Pourtant, certains laboratoires pharmaceutiques continuent de commercialiser des produits contenant des molécules interdites par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les enfants de moins de 5 ans. Ces pratiques, qui défient les normes internationales, mettent en danger la vie de nombreux enfants, notamment sur le continent africain.
Des molécules aux effets dangereux pour les enfants
L'OMS interdit strictement l’administration de certaines molécules, telles que la chlorphéniramine, la phényléphrine ou encore la pseudoéphédrine, aux enfants de moins de 5 ans. Ces substances, couramment utilisées dans des médicaments contre le rhume et la toux, peuvent provoquer des lésions rénales et perturber la croissance des reins chez les jeunes enfants. Ces restrictions visent à prévenir des effets secondaires graves, voire mortels, chez les plus vulnérables.
Cependant, certains laboratoires ignorent ces recommandations. Ces derniers mois, des scandales ont éclaté en Afrique concernant des produits non conformes aux normes de l'OMS, utilisés pour traiter des symptômes bénins chez les enfants.
Des scandales sanitaires en Afrique
L'Afrique a été le théâtre de plusieurs incidents liés à des produits contenant des molécules interdites. En Gambie, un décès tragique a mis en lumière l’impact dramatique de ces substances dangereuses. Suite à cet événement, des produits, notamment ceux de Johnson & Johnson, ont été retirés du marché dans plusieurs pays d’Afrique de l’Est, y compris au Kenya.
Parmi les produits en cause, Litacold Junior et ceux du laboratoire GHPL illustrent bien le problème. Par exemple, bien que la composition du Litacold (chlorphéniramine, paracétamol, phényléphrine) ne soit pas recommandée pour les enfants de moins de 4 ans, sa posologie commence dès la naissance. Cette contradiction flagrante met en danger la santé des nourrissons.
Autre cas inquiétant : le sirop NATURCOLD, utilisé au Cameroun. Une analyse réalisée par un laboratoire sous contrat avec l’OMS a révélé que ce produit contenait jusqu'à 28,6 % de diéthylèneglycol, une substance toxique dont la limite acceptable ne dépasse pas 0,10 %. Ces résultats alarmants ont conduit l’OMS à émettre une alerte mondiale.
Des pratiques douteuses
Certains laboratoires vont jusqu'à promouvoir leurs produits auprès des professionnels de santé, souvent sans mentionner les restrictions d’usage. Les emballages et notices omettent fréquemment les avertissements indispensables. Malheureusement, des médecins, par méconnaissance des risques ou par influence, continuent de prescrire ces produits.
Ces pratiques soulèvent des questions sur la responsabilité des entreprises pharmaceutiques et sur le rôle des autorités de régulation.
Exphar : une alternative sûre
Face à ces scandales, il est essentiel de privilégier des produits conformes aux normes internationales. Les produits exphar se démarquent par leur sécurité et leur conformité stricte aux exigences de l’OMS. Soumis à des contrôles rigoureux, ils constituent une option fiable pour les parents et les professionnels de santé.
Conclusion
La protection de la santé des enfants passe par une vigilance accrue des autorités, une meilleure information des professionnels et des choix responsables de la part des laboratoires. La priorité doit toujours être de garantir des traitements sûrs et efficaces pour les plus jeunes. Grâce à son engagement en faveur de la qualité, exphar offre des solutions qui répondent aux besoins des enfants sans compromis sur leur sécurité. En choisissant exphar, les consommateurs peuvent avoir l’assurance d’utiliser des produits exempts de substances controversées.
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